Suite à mon thread sur le choix de mon vélo, je vous livre mes premières impressions.
Je me suis donc procurer un Vario tequila d'occase (de 2008)pas trop chère et rudement bien conservé.
Par chez moi on à pas mal de forêt qui contiennent toute leurs lots de descentes raviné, de clairières vertigineuses et d'autres bosses traitresse qui ne demande qu'à vous faire mâcher quelques cailloux histoire devoir de quel bois la forêt...Bref me voila en selle pour ma premières balade étant un novice confirmé en la matière je décide avec un courage sans pareil d'y aller bien tranquille, rien ne sert de courir il faut savoir pédaler...
L'euphorie des premiers coups de pédale me gagne à une vitesse ahurissante, mon parcours débute avec une cote longue et ingrate(downhill qui disait!)Seul moyen d'accéder au reste de la foret a la géographie plus variée. Mais qu'a cela tienne la conduite est des plus agréable, le vélo semble animer de sa volonté propre et mange un à un les mètres qui me sépare du haut de cette foutue monté, ah ok à un moment mon corps me rappel a ces basses considération le souffle court et les jambes coupé, il semblerait que le vélo n'avance plus tant si seul que sa, allez comprendre vous, c'est qu'il m’avait l'air motivé.
Enfin en haut (je crache poumons et injure) s’offre à moi mon premier plat légèrement accidenté une fois encore le vélo avale le terrain comme si celui-ci venais juste d'être coulé dans une Shape de bitume tout frais, sauf que non, la forêt est bien la. Le sol roule sa bosse sous mes pneus et, moi au sourire hagard, je ne goute qu'au plaisir d'une randonnée porté par la chaude bise d'un printemps paresseux.
Alors dans mon cœur sonne l'heure de lâché bride à la vitesse, je sais qu'une descente digne de ce nom m'attend au prochain tournant,je sais son inclinaison docile, son sentier large, peu obstrué ne présente pas de danger, pas pour le bikeR chevronné sans crainte les cheveux englué aux casques que je suis devenue en moins de 30min.
Je roule, je roule, je fonce je fonce, je vois plus rien !
Seul ce qui est devant moi à une importance mon cerveau est partagé entre l'envie de lâcher les commandes et l'analyse la plus rapide qu'il peut produire des moindres variations du terrain, ci une buche la un creux, oh sa s'était un cailloux pas vu ( sa secoue) mais la sensation de contrôle est grisante , tout ce passe pour le mieux, la fin ce profile encore un léger virage puis un autre puis sous mes yeux, l'évidence, la piste ce finit pas un léger dénivelé qui pique sur le sentier qui la coupe. Vitesse, précipitation, engouement, ne plus se sentir pissé, tout un tas de chose a dut participer à la conclusion qui m'apparait avec le recul, saugrenue d'un point de vue complaisant, foutrement débile d'un point de vue objectif à l'idée que je me devais de la finir avec un saut tout droit sorti de mon imaginaire, de mes rêves, de mes fictions le tout à la fois ! (c'est dire)
Je révise mentalement les instructions glané sur youtube le cul en arrière les bras pas trop tendu, pense à l’amorti, à l’amorti !
Oui bon cher youtube t'avais pas écrit d'aide limpide sur le sujet, qui a déjà vu, crétin de scarabée si tu veux grandir ne meurs pas jeune et con ?
Ou encore la maitrise du saut relève de ta capacité à faire un bunny truc jump ?!
Ou encore piqué du nez n'est pas une option viable ?!!
Moi pas, toujours.
C'est dingue comme le temps pas vite, j'ai même eu le temps de revoir ma bouille quand ma mère m'avais rasé les cheveux (haine éternel pour ce sacrilège),faut dire le vélo ce plante en moins de temps qu'il faut pour le dire et ma petite personne passe par dessus le guidon, pronto allez savoir c'est le moment ou le cerveau décide de ce remettre en fonction (merci à ma mère pour ce dons), c'est qu'il a des idées parfois le machin, on puise dans la connaissance de nos anciennes pratique, réception en roulet boulet à la vaille que vaille pour une sortie finalement plus flippante que cassante, rien ne m'est arrivé, le sourire effronté du survivant du chaos, celui que personne ne peut arrêter même sans roue je roule(etboulet!) moi biker chevronné, je kiffe mon casque !
Pas calmé pour un clou, je remonte la piste pour remettre sa illico, vous vous demandez surement si mon cerveau étais repassé sur off à ce moment de la décision, me demandez pas j'en sais rien.
Mais cette fois le saut est une réussite dans un simili de bunny truc je cabre mon vélo de l'enfer, conserve la maitrise, recule mon popotin est parviens à faire toucher la roue arrière légèrement avant sa comparse d'avant dans une réception dite du "Cocu-qui-s'en-fou"(attention à la prononciation qui nécessite de ce faire rapidement pour garder l'illusion de technicité du terme).
Là, ma joie d'être en vie n'a plus de limite et la vessie toujours insensible, m'emmènent sur la voie de la cote de mes débuts (que de bon souvenirs) qui pour nos retrouvailles ce pare de son coté pente démoniaque(orienté vers le nord-ouest comme chacun sait, direction des démons), je fonce sans d'hésitation, n'ai-je pas fait mes premiers sauts avec une réussite de 50%, soit bien assez pour valser avec le diable perché sur une jambe ?!
Je vous passe le suspens haletant...je suis en vie, et la pente a trouvé son maitre a.k.a mon frein arrière (love u).
Ma première balade a été un moment de purefolie bonheur,celui d'être en vie d'abord mais aussi celui d'avoir tenté,expérimenté en survivant !
Au rayon des agacements...j'ai crevé je ne sais pas comment je l'ai vu qu'une fois de retour au bercail.
Et le bunny truc me semble hyper hard à faire avec monverre de tequila, mais il doit plus surement s'agir de mon amateurisme sans équivoque (je veux bien des retours sur ce point d'ailleurs).
Voila fin de l'épopée légendaire que se conteront dans quelque génération ma marmaille, au coin du feu, une fois par semaine, en mémoire du grand homme de vélo que j'étais.
Memento mori !
P.s: je corrigerais mes fautes d'ortho plus tard !
P.s 2: vous avez tout lu ? xD
Je me suis donc procurer un Vario tequila d'occase (de 2008)pas trop chère et rudement bien conservé.
Par chez moi on à pas mal de forêt qui contiennent toute leurs lots de descentes raviné, de clairières vertigineuses et d'autres bosses traitresse qui ne demande qu'à vous faire mâcher quelques cailloux histoire devoir de quel bois la forêt...Bref me voila en selle pour ma premières balade étant un novice confirmé en la matière je décide avec un courage sans pareil d'y aller bien tranquille, rien ne sert de courir il faut savoir pédaler...
L'euphorie des premiers coups de pédale me gagne à une vitesse ahurissante, mon parcours débute avec une cote longue et ingrate(downhill qui disait!)Seul moyen d'accéder au reste de la foret a la géographie plus variée. Mais qu'a cela tienne la conduite est des plus agréable, le vélo semble animer de sa volonté propre et mange un à un les mètres qui me sépare du haut de cette foutue monté, ah ok à un moment mon corps me rappel a ces basses considération le souffle court et les jambes coupé, il semblerait que le vélo n'avance plus tant si seul que sa, allez comprendre vous, c'est qu'il m’avait l'air motivé.
Enfin en haut (je crache poumons et injure) s’offre à moi mon premier plat légèrement accidenté une fois encore le vélo avale le terrain comme si celui-ci venais juste d'être coulé dans une Shape de bitume tout frais, sauf que non, la forêt est bien la. Le sol roule sa bosse sous mes pneus et, moi au sourire hagard, je ne goute qu'au plaisir d'une randonnée porté par la chaude bise d'un printemps paresseux.
Alors dans mon cœur sonne l'heure de lâché bride à la vitesse, je sais qu'une descente digne de ce nom m'attend au prochain tournant,je sais son inclinaison docile, son sentier large, peu obstrué ne présente pas de danger, pas pour le bikeR chevronné sans crainte les cheveux englué aux casques que je suis devenue en moins de 30min.
Je roule, je roule, je fonce je fonce, je vois plus rien !
Seul ce qui est devant moi à une importance mon cerveau est partagé entre l'envie de lâcher les commandes et l'analyse la plus rapide qu'il peut produire des moindres variations du terrain, ci une buche la un creux, oh sa s'était un cailloux pas vu ( sa secoue) mais la sensation de contrôle est grisante , tout ce passe pour le mieux, la fin ce profile encore un léger virage puis un autre puis sous mes yeux, l'évidence, la piste ce finit pas un léger dénivelé qui pique sur le sentier qui la coupe. Vitesse, précipitation, engouement, ne plus se sentir pissé, tout un tas de chose a dut participer à la conclusion qui m'apparait avec le recul, saugrenue d'un point de vue complaisant, foutrement débile d'un point de vue objectif à l'idée que je me devais de la finir avec un saut tout droit sorti de mon imaginaire, de mes rêves, de mes fictions le tout à la fois ! (c'est dire)
Je révise mentalement les instructions glané sur youtube le cul en arrière les bras pas trop tendu, pense à l’amorti, à l’amorti !
Oui bon cher youtube t'avais pas écrit d'aide limpide sur le sujet, qui a déjà vu, crétin de scarabée si tu veux grandir ne meurs pas jeune et con ?
Ou encore la maitrise du saut relève de ta capacité à faire un bunny truc jump ?!
Ou encore piqué du nez n'est pas une option viable ?!!
Moi pas, toujours.
C'est dingue comme le temps pas vite, j'ai même eu le temps de revoir ma bouille quand ma mère m'avais rasé les cheveux (haine éternel pour ce sacrilège),faut dire le vélo ce plante en moins de temps qu'il faut pour le dire et ma petite personne passe par dessus le guidon, pronto allez savoir c'est le moment ou le cerveau décide de ce remettre en fonction (merci à ma mère pour ce dons), c'est qu'il a des idées parfois le machin, on puise dans la connaissance de nos anciennes pratique, réception en roulet boulet à la vaille que vaille pour une sortie finalement plus flippante que cassante, rien ne m'est arrivé, le sourire effronté du survivant du chaos, celui que personne ne peut arrêter même sans roue je roule(etboulet!) moi biker chevronné, je kiffe mon casque !
Pas calmé pour un clou, je remonte la piste pour remettre sa illico, vous vous demandez surement si mon cerveau étais repassé sur off à ce moment de la décision, me demandez pas j'en sais rien.
Mais cette fois le saut est une réussite dans un simili de bunny truc je cabre mon vélo de l'enfer, conserve la maitrise, recule mon popotin est parviens à faire toucher la roue arrière légèrement avant sa comparse d'avant dans une réception dite du "Cocu-qui-s'en-fou"(attention à la prononciation qui nécessite de ce faire rapidement pour garder l'illusion de technicité du terme).
Là, ma joie d'être en vie n'a plus de limite et la vessie toujours insensible, m'emmènent sur la voie de la cote de mes débuts (que de bon souvenirs) qui pour nos retrouvailles ce pare de son coté pente démoniaque(orienté vers le nord-ouest comme chacun sait, direction des démons), je fonce sans d'hésitation, n'ai-je pas fait mes premiers sauts avec une réussite de 50%, soit bien assez pour valser avec le diable perché sur une jambe ?!
Je vous passe le suspens haletant...je suis en vie, et la pente a trouvé son maitre a.k.a mon frein arrière (love u).
Ma première balade a été un moment de pure
Au rayon des agacements...j'ai crevé je ne sais pas comment je l'ai vu qu'une fois de retour au bercail.
Et le bunny truc me semble hyper hard à faire avec mon
Voila fin de l'épopée légendaire que se conteront dans quelque génération ma marmaille, au coin du feu, une fois par semaine, en mémoire du grand homme de vélo que j'étais.
Memento mori !
P.s: je corrigerais mes fautes d'ortho plus tard !
P.s 2: vous avez tout lu ? xD